Scrivendo a Claude Fauriel, a Parigi, Manzoni traccia un delicato ritratto della giovane moglie Enrichetta: «Ma femme vous évalue deja, elle vous est, on ne peut plus, reconnaissante de l'amitié que vous avez pour moi; et elle se félicite de ce que son mari a un pareil ami. Il faut que je vous avoue qull'elle vous craint, parce que elle vous croit trop prévenu en sa faveur, et elle pense que vous la trouverez sûrement inférieure au portrait que nous vous faisons d'elle.»

Anno
1808
Date
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